My name is Bonds
Mais on s’en tamponne de son enfance, c’est un dopé ! Y a des chances, effectivement. Si on regarde les photos début de carrière et fin de carrière, il a juste doublé de volume. Il a beau avoué qu’il a jamais rien pris, faut quand même pas pousser.
Ce qui est sûr en tout cas, c’est que grosse masse ou pas, Barry Bonds est un excellent frappeur (.298 avg en carrière). Là, tout est question de jugement et non de puissance. On tiquera juste sur les années 2000. Avant il avait du mal à atteindre 40 homeruns et boum bug de l’an 2000 ou autre ça dépasse les 40 et ça monte même jusqu’à 73 (2001). Là, pour le coup, les yeux sont toujours là mais avec 200 kilos de muscle en plus (j’exagère bien sûr).
Le monde est donc divisé en 2 clans : « Bouh le tricheur ! » et « GODLIKE ! » Et ça a l’air d’être du 50/50 même si on entend plus les anti que les pros. Et ceci aussi bien parmi les fans et que les joueurs et officiels eux-mêmes. Bud Selig, le boss de la mlb, fait un peu la gueule. Hop direction chez « bouh le tricheur ». Hank Aaron, ancien leader du classement, l’a un peu mauvaise aussi mais a félicité Bonds. Mais pas en personne… ah l’enfoiré aller hop chez « bouh le tricheur ». Et on y foutra Curt Schilling aussi.
Dans le clan « GODLIKE ! », je vois pas qui foutre. Car ça sent quand même l’hypocrisie à plein nez. Et ça fouterait la merde de balancer, ça renforcerait aussi les contrôles anti-dopage (t’inquiète pas Jason, tu y es déjà passé).
Et … rien, je me rends compte que je fais pas avancer le bouzin. Remarquez , c’était pas le but, je relate juste les faits. Si on veut mon avis je dirais que sans stéroïde, le sieur Bonds aurait claqué 40 ou 50 homeruns de moins. Et que dans quelques années, Alex Rodriguez risque de devenir le joueur qui inscrira son nom au sommet … et la polémique continuera encore et encore.
0 Comments:
Post a Comment
<< Home